Le film 'L'homme qui a conquis le monde' est la première partie du film qui traite de ce sujet.

Le film 'L'homme qui a conquis le monde' est la première partie du film qui traite de ce sujet.

Depuis quelques jours, Géraldine Maillet est au centre de toutes les discussions... Comme elle ne fait pas mystère de ses positions sur le vaccin, elle se met très régulièrement à dos ceux qui ne sont pas d'accord avec elle. Lundi, c'est Myriam Palomba, la directrice de Public, avec qui elle a eu des désaccords. Mardi soir, lors de l'émission quotidienne, la question des vaccins et du carnet de vaccination a de nouveau été abordée. Et Géraldine Maillet de balancer : "J'ai appelé beaucoup de médecins qui sont sur place. Je n'ai pas appelé Palomba, Di Vizio, Lalanne ou Bigard". Des propos qui n'ont pas plu à la journaliste, qui s'est sentie dénigrée. Elle s'est donc rendue à TPMP pour régler ses comptes avec la chroniqueuse.

"Dire 'je ne nomme pas Palomba ou Di Vizzio', j'ai trouvé cela incroyablement irrespectueux. Je n'ai pas l'habitude de donner mon CV. Mais j'ai une maîtrise de philosophie. Je suis diplômé de l'école de journalisme (...) J'ai une formation à HEC. Je dirige plus de 60 personnes dans mes services et je gère des budgets de plusieurs millions d'euros. Alors me faire traiter comme un moins que rien par quelqu'un qui a commencé sa carrière avec Premiers Baisers ? Je trouve ça un peu limite ! (...) Je voudrais juste rappeler que lorsque je parle des célébrités, vous êtes l'une des premières à me demander les ragots des coulisses. Alors, votre hypocrisie ! (...) Si vous dites le contraire, vous êtes soit un conspirationniste, soit un abruti, soit un facho ! Le dénigrement dont elle a fait l'objet hier soir était péjoratif, hautain et méprisant (...) C'est quelqu'un que j'aimais bien et que je trouvais sympathique. Mais c'est sur ce sujet que la vraie personnalité des gens se révèle (...) En vérité, j'en ai rien à foutre d'elle !", a lancé Myriam Palomba.

Et c'est tout naturellement que la chroniqueuse de Touche Pas à Mon Poste a répondu à celle qui dirige le magazine Public. Elle a dit : "Premiers Baisers, j'en suis très fière parce que ça m'a permis de payer mes études (...) La particularité de TPMP, ce sont les débats animés. On est en direct (...) C'est un espace de liberté (...) Vous avez l'habitude de venir ici par rapport à Public (...) Ils ne sont pas là et pourtant vous parlez d'eux. Cela ne vous dérange pas. Ce qui vous dérange, c'est que je parle de vous quand vous n'êtes pas là (...) Ici, vous êtes venue en tant que citoyenne engagée (...) Je vous écoute, mais je ne suis pas d'accord avec vous. Mais je ne suis pas là pour vous convaincre et vice versa. Et quand j'ai parlé de vous hier, c'était pour dire que quand je suis malade, j'appelle un médecin et pas Palomba ou Di Vizio. Ce n'était pas de la condescendance". L'ambiance était clairement tendue sur la scène de TPMP !