Jean ROUCH: Cinéma et ethnologie PART 3

Le 3 mars 2021, la chaîne Youtube de SUB-TIL productions a sorti un nouveau contenu qui a attiré toute notre attention, cet article va pouvoir donner un coup de projecteur dessus et pourquoi pas vous faire découvrir cette vidéo.

Depuis le temps que vous nous suivez sur Allo Trends, vous commencez à avoir l’habitude qu’on vous parle de la chaîne Youtube SUB-TIL productions, et de ses vidéos si virales qui font systématiquement parler d’elle sur le web, et même au-delà ! On est sûr que cette vidéo va vous intéresser, c’est bien pour cela que nous avons pris la décision de faire cet article.

Comme bien souvent lorsque la chaîne Youtube SUB-TIL productions poste un nouveau contenu sur internet, vous pouvez le trouver sur notre site. Pour regarder la toute dernière vidéo qui s’appelle “Jean ROUCH: Cinéma et ethnologie PART 3”, c’est juste en haut !

Gros buzz pour le moment pour cette dernière vidéo de SUB-TIL productions, en effet le nombre de vues que comptabilise la vidéo est actuellement bien supérieur à la normale. C’est pour cette raison qu’on imagine que si ça continue dans ce sens, la vidéo pourrait bien se retrouver très rapidement en tendance Youtube.

N’oubliez pas que vous pouvez contacter l’auteur de cette vidéo pour lui faire part de vos remarques et conseils ou bien même pour le questionner sur le sujet de son contenu. Première solution pour contacter l’auteur de cette vidéo, c’est sur Youtube que ça se passe : Essayez de trouver son adresse email dans “A propos”. Si vous n’avez pas de réponse, vous pouvez réessayer de le contacter mais sur une autre plateforme. Twitter semble être un moyen assez simple pour interpeller un Youtuber à propos d’un de ses contenus.

Normalement si vous êtes encore en train de lire cet article, c’est que la vidéo Jean ROUCH: Cinéma et ethnologie PART 3 a dû vous faire plaisir et qu’on ne s’est pas trompé en vous incitant à la regarder. Lorsqu'on écrit un article et qu’on voit qu’il fait des vues car il plaît à notre communauté, on a qu’une hâte, c’est de réussir à vous convaincre de revenir nous lire plus souvent ! Alors faites nous plaisir et repassez régulièrement sur Allo Trends pour suivre d’autres vidéos de SUB-TIL productions.

Quoi ?! C’est déjà l’heure de nous quitter ?! Ne vous inquiétez pas, on se retrouve bientôt sur Allo Trends !

À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Jean ROUCH: Cinéma et ethnologie PART 3 publiée par la chaine Youtube SUB-TIL productions :

Admirateur des films de Robert Flaherty, Jean Rouch donne une nouvelle impulsion au cinéma ethnographique en filmant avec une caméra 16 mm des faits sociaux précis. Son Initiation à la danse des possédés (1948) est remarquée dans des festivals, et les films qui vont suivre connaissent souvent une exploitation commerciale. Jean Rouch n'est pas seulement un homme d'étude. Son mérite est de joindre à ses observations anthropologiques un bagage technique et une méthode d'approche de plus en plus personnelle. En effet, il est son propre opérateur, enregistre les événements dans leur continuité - sans couper les très longs plans séquences - et tourne au coeur de l'action, la caméra à la main. Les Maîtres fous (1954), extraordinaire document sur les rites de possession de la secte des Haoukas au Niger, est à cet égard la référence du cinéma selon Jean Rouch. Le film, critiqué pour sa minutie d'entomologiste, déclenche la controverse. Il se justifie par l'emploi d'un ton direct et improvisé, et par un commentaire explicatif visant à la précision et à l'objectivité. Afin de désamorcer les critiques, le cinéaste déploie un regard dans toutes les directions avec La Pyramide humaine (1959), où, au lycée d'Abidjan, les Blancs sont autant observés que les Noirs, et avec Petit à petit (1970), où il soumet les Parisiens au regard d'un Nigérien. Ce faisant, Jean Rouch développe un cinéma plus subjectif, comme en témoigne son entreprise majeure, Chronique d'un été (1960), en collaboration avec Edgar Morin, une enquête sociologique dans le Paris de l'été 1960, et ses essais de " cinéma vérité " aux limites de la fiction comme La Punition (1960) et Gare du Nord (1964, sketch de Paris vu par). Par la suite, l'Afrique demeure son sujet de prédilection, qu'elle soit traditionnelle ou soumise à l'influence néocoloniale. Si son humanisme dénué de toute idéologie emporte toujours la sympathie, Jean Rouch ne retrouve pas le souffle des Maîtres fous.