Jean ROUCH: Cinéma et ethnologie PART 1

On a regardé avec attention la nouvelle vidéo de SUB-TIL productions qui est disponible sur Youtube depuis le 17 février 2021 et on pense qu’elle pourrait capter l'intérêt de pas mal d'internautes…

Et oui, la chaîne Youtube SUB-TIL productions a encore le droit à un article sur Allo Trends aujourd’hui, et en même temps c’est tout à fait logique vu la passion que met notre communauté à chaque fois qu’une nouvelle vidéo est disponible sur internet. Et c’est ainsi que nous avons pris la décision de vous partager en ce jour ce dernier contenu qui pourrait éveiller votre intérêt.

Nous vous proposons aujourd’hui de retrouver la dernière vidéo de la chaîne Youtube SUB-TIL productions qui s’appelle tout simplement Jean ROUCH: Cinéma et ethnologie PART 1. Si vous l’avez apprécié, n'hésitez pas à like le contenu pour ainsi soutenir l’auteur de la vidéo !

Depuis plusieurs heures, beaucoup d’internautes parlent de cette nouvelle vidéo sur les réseaux sociaux et elle fait aussi réagir les gens sur de nombreux forums de discussion. Ce n’est pas la première fois que la chaîne Youtube SUB-TIL productions sort une vidéo qui fait parler d’elle, et nous connaissons votre grand intérêt pour ce style de contenus.

Vous avez une question à faire part à l’auteur de cette vidéo ? Ou peut-être tout simplement un message à faire passer. Lorsqu’on souhaite envoyer un petit mot à un créateur de contenu sur internet, le plus souvent on utilise son adresse email tout simplement ! Vous pouvez l’obtenir en vous rendant sur sa page Youtube, rubrique “A propos”. Mais attention, ils ne lisent pas tous leur boite mail, dans ce cas passez par Twitter.

On est bientôt à la fin de la news sur la vidéo Jean ROUCH: Cinéma et ethnologie PART 1, toute l’équipe Allo Trends espère que vous l’avez trouvé intéressante à lire. Nous avons d’autres vidéos de SUB-TIL productions sur Allo Trends, vous pouvez les découvrir dès maintenant en utilisant la barre de recherche. Vous devriez vous débrouiller, c’est assez facile d’accès même pour un débutant !

Il est maintenant temps de nous quitter, merci d’avoir lu cet article, on se revoit très vite sur Allo Trends !

À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Jean ROUCH: Cinéma et ethnologie PART 1 publiée par la chaine Youtube SUB-TIL productions :

Admirateur des films de Robert Flaherty, Jean Rouch donne une nouvelle impulsion au cinéma ethnographique en filmant avec une caméra 16 mm des faits sociaux précis. Son Initiation à la danse des possédés (1948) est remarquée dans des festivals, et les films qui vont suivre connaissent souvent une exploitation commerciale. Jean Rouch n'est pas seulement un homme d'étude. Son mérite est de joindre à ses observations anthropologiques un bagage technique et une méthode d'approche de plus en plus personnelle. En effet, il est son propre opérateur, enregistre les événements dans leur continuité - sans couper les très longs plans séquences - et tourne au coeur de l'action, la caméra à la main. Les Maîtres fous (1954), extraordinaire document sur les rites de possession de la secte des Haoukas au Niger, est à cet égard la référence du cinéma selon Jean Rouch. Le film, critiqué pour sa minutie d'entomologiste, déclenche la controverse. Il se justifie par l'emploi d'un ton direct et improvisé, et par un commentaire explicatif visant à la précision et à l'objectivité. Afin de désamorcer les critiques, le cinéaste déploie un regard dans toutes les directions avec La Pyramide humaine (1959), où, au lycée d'Abidjan, les Blancs sont autant observés que les Noirs, et avec Petit à petit (1970), où il soumet les Parisiens au regard d'un Nigérien. Ce faisant, Jean Rouch développe un cinéma plus subjectif, comme en témoigne son entreprise majeure, Chronique d'un été (1960), en collaboration avec Edgar Morin, une enquête sociologique dans le Paris de l'été 1960, et ses essais de " cinéma vérité " aux limites de la fiction comme La Punition (1960) et Gare du Nord (1964, sketch de Paris vu par). Par la suite, l'Afrique demeure son sujet de prédilection, qu'elle soit traditionnelle ou soumise à l'influence néocoloniale. Si son humanisme dénué de toute idéologie emporte toujours la sympathie, Jean Rouch ne retrouve pas le souffle des Maîtres fous.