Meeting d'Eric Zemmour : La présence d'Eric Naulleau provoque la colère des internautes

Meeting d'Eric Zemmour : La présence d'Eric Naulleau provoque la colère des internautes

Dimanche 5 décembre, le premier meeting d'Eric Zemmour a eu lieu à Villepinte. La présence d'Eric Naulleau, venu soutenir le candidat à la présidentielle, n'a pas été saluée par tous. Bien au contraire ...

Après avoir officialisé sa candidature à l'élection présidentielle de 2022 dans un clip vidéo diffusé sur Youtube, Eric Zemmour a tenu son premier meeting le dimanche 5 décembre 2021. L'ancien polémiste de CNews s'est rendu en Seine-Saint-Denis, au parc des expositions de Villepinte. Et dans la salle, quelques visages familiers ont provoqué la colère de nombreux concitoyens.

Eric Naulleau lors du rassemblement d'Eric Zemmour.

Plusieurs personnalités étaient présentes au meeting du candidat. Christine Boutin, Pierre-Jean Chalençon, Stanislas Rigault et surtout Eric Naulleau, son ami de longue date. Et ancien sidekick d'On n'est pas couché, l'émission de Laurent Ruquier dont les deux hommes étaient les chroniqueurs. Une présence très controversée, surtout pour un homme plus à gauche qu'à droite, comme il le revendique sur les plateaux de télévision.

Même si les deux journalistes de profession ne partagent pas les mêmes opinions politiques, ils n'ont jamais caché leur amitié sans faille au fil des années. "Zemmour, le président de la République, est ma seule chance de devenir ministre de la Culture (...) Il fait partie de mes amis les plus proches", a-t-il confié à nos confrères de Yahoo.

Des réseaux sociaux en colère

La toile a rapidement été envahie par de nombreux messages dans lesquels Eric Naulleau était violemment attaqué. Sur Twitter, c'était l'enfer : "@EricNaulleau au meeting de @ZemmourEric, l'amitié n'excuse pas tout, l'adhésion aux idées de son ami devient de plus en plus évidente",

"Quand allez-vous faire votre coming out d'extrême droite ?" ou "Naulleau, qui répète partout qu'il n'est pas facho, mais ne traîne qu'avec des fachos", pouvait-on lire.

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