Ukraine et anti-américaine

Le 5 janvier 2023, la chaîne Youtube de Dernieres Nouvelles Game a sorti un nouveau contenu qui a attiré toute notre attention, cet article va pouvoir donner un coup de projecteur dessus et pourquoi pas vous faire découvrir cette vidéo.

Vous le savez bien, ce n’est pas nouveau, nous suivons avec un très grand intérêt l'actualité de la chaîne Youtube Dernieres Nouvelles Game depuis pas mal de temps déjà car nous savons que son contenu plait tout particulièrement à notre communauté. On est sûr que cette vidéo va vous intéresser, c’est bien pour cela que nous avons pris la décision de faire cet article.

Pour ne rien vous cacher, quand on a vu que la chaîne Youtube Dernieres Nouvelles Game avait publié une nouvelle vidéo qui s'appelait Ukraine et anti-américaine, nous n’avons pas hésité une seconde à vous la partager pour que vous puissiez la découvrir !

La vidéo fait un très bon démarrage depuis qu’elle a été téléversé sur la chaîne Youtube de Dernieres Nouvelles Game et elle pourrait bien finir en tendance si les scores restent à ces niveaux. Il ne faudra cependant pas trop s’enflammer et attendre quelques jours pour voir si ce bon démarrage se confirme avec un buzz sur la durée.

Vous avez une question à faire part à l’auteur de cette vidéo ? Ou peut-être tout simplement un message à faire passer. Lorsqu’on souhaite envoyer un petit mot à un créateur de contenu sur internet, le plus souvent on utilise son adresse email tout simplement ! Vous pouvez l’obtenir en vous rendant sur sa page Youtube, rubrique “A propos”. Mais attention, ils ne lisent pas tous leur boite mail, dans ce cas passez par Twitter.

Toute la rédaction souhaite que vous ayez aimé cet article, ainsi que la vidéo Ukraine et anti-américaine que vous avez découvert aujourd’hui à nos côtés. Dans notre plateforme, vous pourrez trouver d’autres vidéos de Dernieres Nouvelles Game, jetez y un coup d'œil à l’occasion, c’est pratique et ça peut vous permettre de trouver des contenus que vous n’aviez jusqu'alors jamais vu encore sur le web !

Et voilà c’est déjà fini, on se revoit très bientôt sur Allo Trends pour un nouvel article. Bisous bisous !

À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Ukraine et anti-américaine publiée par la chaine Youtube Dernieres Nouvelles Game :

#Ukraineantiaméricaine
https://gotopnews.com/post/1310514
Les législateurs américains tiennent un drapeau ukrainien alors que le président Volodymyr Zelensky arrive pour s'adresser au Congrès sur la colline du Capitole le 21 décembre. Il est de bon ton, dans certaines chapelles du Québec, d'accuser à outrance les États-Unis de tous les vices géopolitiques, une analyse filtrée jusqu'à l'antiaméricanisme. Posture un peu faux cul. Malgré les énormes défauts que j'attribue à ce pays, comme beaucoup de gens, je n'ai heureusement jamais été touché par cet anti virus. Et un peu lâche, ce sentiment, sachant que nos voisins seraient les premiers à nous défendre si nous touchions ne serait-ce qu'un de nos cheveux. Ils seraient avec nous avec un préavis de deux heures… Oui, j'ai compris que notre protection permanente s'explique en grande partie par l'insolence des Américains, aux yeux desquels, en quelque sorte, nous ne sommes pas vraiment un pays à part, mais une partie de l'Amérique. L'Amérique, le terme qui les met en transe. Mais force est de constater que sans l'intervention américaine pour armer l'Ukraine, ce pays serait déjà à genoux, écrasé par la Russie, ou « dénazifié », comme le prétend si ignoblement Vladimir Vladimirovitch Poutine. J'analysais, encore mercredi, les "données de suivi de l'aide ukrainienne" de l'Institut de Kiel pour l'économie mondiale, qui comptabilisent l'aide apportée par les différents pays du monde à l'Ukraine depuis le début de la guerre, jusqu'au 20 novembre. La première conclusion, grosse comme un bus, est que les États-Unis, jusqu'à récemment, s'étaient engagés plus financièrement envers l'Ukraine que pratiquement tous les pays du monde réunis. On parle d'aide militaire, financière et humanitaire. Dans l'aide militaire, ils sont pratiquement seuls, à 23 milliards d'euros, suivis de très, très loin par le Royaume-Uni, à 4 milliards. Un récent engagement supplémentaire de l'Union européenne a porté cette institution et l'ensemble de ses pays membres à près de 52 milliards d'euros engagés au total, légèrement devant les États-Unis, à un peu moins de 48 milliards. Mais les données excluent clairement l'aide supplémentaire incluse dans le dernier budget américain voté fin décembre, qui placerait les États-Unis, de loin, au rang de premier bienfaiteur de l'Ukraine. La part du Canada est enregistrée à 2,14 milliards d'euros. Pas trop gênant. Et ce sont des voisins courageux comme les pays baltes, la Pologne et la République tchèque qui ont le plus contribué en pourcentage de leur PIB, entre 1 et 1,5 %, ce qui inclut les coûts d'accueil des réfugiés. Remarquable. Donc, peu importe ce que nous pensons des « Américains », ce sont eux qui paient. Je sais aussi très bien que tous ces investissements des USA, pour infliger une grave défaite à la Russie, leur coûteront peut-être moins cher que d'investir dans des moyens de défense ou d'attaque, à terme, pour contrer ou défier. On peut aussi affirmer qu'il leur serait ainsi profitable de continuer à exercer leur hégémonie sur la planète. Mais cela deviendra moins facile avec la force actuelle de la Chine, l'Inde qui monte en puissance et la présence de la zone euro. Même s'il semble faible à beaucoup de gens, dont l'auteur de cette chronique, il faut saluer l'expérience des affaires internationales et le courage du président Joe Biden dans ce conflit. Je n'ose pas imaginer un Trump aux commandes dans cette situation. La misère ! La faible réponse occidentale n'a pas effrayé la Russie lors de son attaque contre la Géorgie, l'annexion de la Crimée et la guerre dans le Donbass ces dernières années. Sans oublier son action aux côtés du président Bachar al-Assad en Syrie, où elle a participé au de Syriens. Biden avait ce courage de dire que ça suffisait. Sans son action, les pays européens, pris par les couilles comme gros consommateurs d'énergies fossiles russes, ne se seraient peut-être pas fédérés ni n'auraient réussi l'accord actuel sur un prix plafond du baril à payer aux Russes et sur la diversification des sources d'approvisionnement. Consensus qui tient jusqu'à nouvel ordre, mais on verra bien, les bras ont été durement tordus pour en arriver là, sauf exceptions... Dans un autre ordre d'idées, mais dans le même ordre d'idées, chez les essayistes, la mode est aux livres noirs. Ainsi, Le Livre noir de Vladimir Poutine2. Je croyais que c'en était assez, que j'en avais assez lu sur le gars. Hé non ! J'ai succombé, encore une fois, et le livre est très, très bon ! Je me permets de laisser quelques paragraphes, pour foutre le bordel dans les discussions avec certains de mes amis, sur la notion de nationalisme à l'ère des communautés mixtes. Décrivant et qualifiant les propos de Poutine sur l'Ukraine, deux des auteurs, Mykola Riabtchouk et Iryna Dmytrychyn, écrivent ceci : « Sa diatribe tournait autour d'un mensonge fondamental qui passait souvent