Et oui, la chaîne Youtube Dernières Meta-Nouvelles a encore le droit à un article sur Allo Trends aujourd’hui, et en même temps c’est tout à fait logique vu la passion que met notre communauté à chaque fois qu’une nouvelle vidéo est disponible sur internet. Parfois on hésite à écrire un article car on ne sait pas s' il vous plaira, mais aujourd'hui nous savons que cette vidéo vous intéressera.
En effet, la chaîne Youtube Dernières Meta-Nouvelles a décidé aujourd’hui de poster une nouvelle vidéo qui porte le titre de “Trial de Harold Lebel pour agression sexuelle: craignant d'attaquer un homme "super aimé"”. Évidemment, vous pouvez dès à présent la retrouver en lecture intégrale sur notre site pour votre plus grand plaisir !
On pourrait retrouver dans les prochaines heures ce contenu dans l’outil tendance de Youtube vu le démarrage qu’elle fait ! Depuis que la chaîne Youtube Dernières Meta-Nouvelles l’a postée, beaucoup d’internautes ne parlent plus que de ça sur les réseaux. Attendons cependant quelques heures avant d'être fixé sur le succès au nom de cette vidéo.
Vous rencontrez des soucis avec ce contenu ? Vous avez repéré une erreur dans la vidéo que vous souhaitez faire remonter au monteur ? Si vous souhaitez faire des retours au créateur de la vidéo, n'hésitez pas à contacter l’auteur en vous rendant dans la section “A propos” de sa chaîne youtube. Ou bien en tentant de le joindre sur ses réseaux sociaux tout simplement, c’est quand même bien pratique des fois twitter !
Toute la rédaction souhaite que vous ayez aimé cet article, ainsi que la vidéo Trial de Harold Lebel pour agression sexuelle: craignant d'attaquer un homme "super aimé" que vous avez découvert aujourd’hui à nos côtés. Nous espérons vous retrouver au plus vite sur Allo Trends, d’ici là vous allez pouvoir regarder d’autres vidéos de Dernières Meta-Nouvelles en cherchant un peu sur notre plateforme dédiée. Si vous avez déjà fait le tour, allez sur Youtube, le contenu y est quasi infini !
Toutes les bonnes choses ont une fin et cet article ne déroge pas à la règle ! A plus tard pour un prochain contenu à découvrir sur Allo Trends !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Trial de Harold Lebel pour agression sexuelle: craignant d'attaquer un homme "super aimé" publiée par la chaine Youtube Dernières Meta-Nouvelles :
# #TrialHarold #Lebelagression #sexuelle
https://gotopnews.com/post/898767
Le témoignage de la victime présumée de Harold Lebel s'est poursuivie mercredi matin, la femme disant qu'elle ne voulait pas faire une vague avec l'agression présumée, craignant que nous puissions la voir comme un bras de désordre qui a attaqué un homme "super aimé", avec une "excellente réputation".
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"Je préfère mettre cela de côté, faire semblant que cela ne s'était pas produit. Mettez cela dans une petite boîte de mon cerveau", a déclaré la plaignante, ajoutant avoir peur d'elle-même en payant une éventuelle dénonciation.
"Nous avons peur de notre crédibilité parce que c'est tellement une personnalité appréciée que nous avons peur que ce soit nous qui ont subi les conséquences", a-t-elle expliqué au jury.
C'est cet aspect du témoignage de la femme qui est resté à développer par le procureur de la Couronne, moi Manon Gaudreault. Après avoir informé l'attaque à la fin de l'après-midi mardi, la victime présumée a expliqué ce matin au jury le voyage qui l'a poussée à déposer une plainte à l'été 2020 pour l'agression qui s'est produite deux ans et demi plus tôt, dans le Automne 2017.
C'est notamment le mouvement «moi aussi» et l'arrestation d'une autre personnalité connue dans le monde politique pour agression sexuelle qui s'est réveillé chez les femmes un certain inconfort avec leur propre situation.
"Si je ne dis rien, d'autres personnes peuvent subir la même chose que j'ai eu", se demande la femme. "J'ai commencé à me sentir mal à mon sujet en ne disant rien. [...] Je ne voulais pas avoir ça à propos de la conscience. Je ne sais pas si ces choses se répéteront", a-t-elle ajouté.
Craignant, cependant, la tempête médiatique qui vient avec la dénonciation d'un politicien, il a fallu des opinions juridiques le rassurant sur la possibilité qu'un ordre de non-publication empêche son identification de faire le saut.
Le 24 juillet 2020, elle est finalement allée à un poste de Sûreté du Québec pour remplir une déposition.
Retour aux faits
Avant de lui demander d'expliquer son voyage, le procureur du dossier a remis en question la victime présumée sur certains aspects de son témoignage de la veille quant aux faits allégués contre Harold Lebel.
Comme mardi, la femme a déclaré avoir été adoptée par le député après avoir pris quelques lunettes de son condo avec une troisième personne qui était à ce moment au lit. Le plaignant et cette autre personne traversaient Rimouski pour des raisons professionnelles et ont été organisées par Lebel, qu'ils connaissaient et considéraient comme un "bon ami".
Après que l'accusé ait détaché son soutien-gorge et s'est enfermé dans une salle de bain, la femme a déclaré que le député insiste malgré son refus. En particulier, il a essayé d'entrer dans la salle de bain où elle s'était réfugiée.
«Il frappe, il insiste très. C'est alors que j'avais vraiment peur parce que je pensais que c'était un comportement qui était agressif dans le sens où je venais de dire non, j'ai interdit la porte. [...] C'est là que je tremblais. Je ne savais pas quoi faire », a-t-elle déclaré au jury.
Ensuite, allant se coucher dans le salon, la femme a été rejointe par Harold Lebel, qui lui a demandé d'aller se coucher avec elle, ce qu'elle a accepté "d'acheter la paix", a-t-elle dit, lui souhaitant comprendre son refus.
Sexe sexuel
C'est là que le toucher sexuel se serait produit. Après quelques minutes à distance, Harold Lebel aurait glissé une main à la femme et flatté ses fesses avant de les attraper. Ensuite, il aurait placé ses doigts dans les fesses de la victime présumée, insérant un doigt dans son anus.
"Ce n'était pas très profond, mais il est revenu parce que c'était douloureux", a déclaré le plaignant à nouveau mercredi matin.
Interrogé par moi Gaudreault lors de ce moment inquiétant, la victime présumée a précisé qu'elle était à l'époque vêtue d'un pyjama de style "veste" et de ses sous-vêtements.
"En y réfléchissant, logiquement pour qu'il puisse avoir accès à mes fesses, à mes fesses, à mon anus, je pense qu'il a emballé ma petite culotte ou il les a retirés. Il a clairement trouvé un moyen de mettre sa main", a déclaré la femme.
Ces gestes auraient ensuite prolongé la nuit, la victime restant immobile dans le lit du salon. Aucun mot n'a été échangé entre elle et l'accusé a ajouté.
Le témoignage se poursuit mercredi jour avec le contre-ordre de la victime présumée par la défense. Harold Lebel a plaidé non coupable de l'accusation d'agression sexuelle. Son procès devant le jury est prévu pour une période de deux à trois semaines.