Comme il y a quelque temps, vous aviez été très nombreux à vous rendre sur un de nos articles qui parlait d’une des dernières vidéos de la chaîne Dernieres Nouvelles Game, on en remet une couche aujourd’hui car nous savons combien ça vous fait tout particulièrement plaisir. Et c’est pour cela qu’on vous en parle aujourd’hui, cette toute nouvelle vidéo devrait vous intéresser.
La chaîne Youtube Dernieres Nouvelles Game a publié aujourd’hui une nouvelle vidéo qui s’appelle Quitter ou rester bon? Le dilemme des Ukrainiens au Québec. Vous voulez découvrir cette vidéo et la regarder en streaming, vous êtes chanceux on vous l’a mis de côté !
On pourrait retrouver dans les prochaines heures ce contenu dans l’outil tendance de Youtube vu le démarrage qu’elle fait ! Depuis que la chaîne Youtube Dernieres Nouvelles Game l’a postée, beaucoup d’internautes ne parlent plus que de ça sur les réseaux. Attendons cependant quelques heures avant d'être fixé sur le succès au nom de cette vidéo.
A la télévision, il est très difficile de rentrer en contact avec les animateurs ou bien même les producteurs d’une émission. Sur internet c’est beaucoup plus facile de contacter un vidéaste lorsqu’on souhaite lui faire des retours à propos d’une vidéo publiée sur Youtube ! Si vous souhaitez faire des retours au créateur de la vidéo, n'hésitez pas à contacter l’auteur en vous rendant dans la section “A propos” de sa chaîne youtube. Ou bien en tentant de le joindre sur ses réseaux sociaux tout simplement, c’est quand même bien pratique des fois twitter !
Nous espérons que vous avez apprécié cet article, et que la vidéo Quitter ou rester bon? Le dilemme des Ukrainiens au Québec a répondu à toutes vos attentes. Le saviez-vous ? Sur Youtube, vous pouvez trouver d’autres vidéos de Dernieres Nouvelles Game qui ont pu être uploadé par d’autres utilisateurs et qui ne sont pas encore référencés sur Allo Trends. Si jamais vous êtes curieux, allez y faire un tour, on ne sait jamais !
On se retrouve bientôt pour un nouveau contenu sur Allo Trends, et en attendant on se dit Ciao à la prochaine !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Quitter ou rester bon? Le dilemme des Ukrainiens au Québec publiée par la chaine Youtube Dernieres Nouvelles Game :
#quitterrester #quitterrester #couple #divorcequébec
https://gotopnews.com/post/1712212
Pensent-ils qu'ils vont s'installer ici pour de bon ? À l'approche du sinistre anniversaire du début l'invasion russe, les réfugiés ukrainiens au Québec font le bilan de leurs luttes et leurs espoirs. • Aussi : Après un an de guerre en Ukraine, voici sept choses que nous avons apprises sur Vladimir Poutine «Je vis bien à Montréal, rien ne peut m'arriver», note Tetiana Reutska, qui a fui les missiles qui ont plu sur sa ville natale. Comme elle, de nombreux ressortissants ukrainiens ont pris la décision d'adopter durablement notre pays, d'apprendre le français, de repartir à zéro. Mais d'autres sont plus mitigés. Si la paix revenait demain matin, ils pourraient rentrer chez eux. Ou peut être pas. En tout cas, Nataliia Koshkina repense souvent la maison près de Kharkiv où elle s'apprêtait à emménager avec sa petite famille, située quelques kilomètres seulement d'un territoire occupé par les Russes . Ce désir de retour est une réaction tout à fait normale. Les réfugiés n'ont pas décidé quitter leur pays, ce n'est pas comme s'ils rêvaient de venir au Canada », explique Ghayda Hassan, professeure psychologie à l'UQAM. Après la lune de miel Il n'est pas rare que certains déchantent après la lune de miel qui suit leur arrivée, explique l'expert des questions d'immigration et de violence. Et c'est souvent à ce moment-là que leurs sentiments les rattrapent. « Je me souviens d'une babouchka [grand-mère] qui me disait "les émotions sont faites pour les oreillers le soir", raconte Caroline Vézina, infirmière clinicienne à la Clinique santé des réfugiés de la Capitale-Nationale à Québec. Cette dernière remarque que très peu d'Ukrainiens ont accepté l'aide psychologique offerte par le CIUSSS. Pourtant, l'angoisse des laissés-pour-compte – père vieillissant, un fils au front, mari célibataire – est souvent évoquée lors de ses consultations. Ma mère vit chaque jour dans une ville ardée. Aujourd'hui ne fait pas exception », raconte Tetiana Reutska, qui l'appelle tous les matins, sans faute. De gynécologue à cuisinier Les experts mentionnent également que la perte de statut – social, économique ou professionnel – pèse lourdement dans le solde de l'immigration pour les adultes. Lyudmila Chepurda, gynécologue à Tchernigov, est devenue cuisinière dans une garderie à Varennes. Elle est néanmoins déterminée à suivre un cours de sexologie et à retourner travailler dans son domaine. Les tout-petits subissent aussi les conséquences de cet exil forcé, explique Jean-Bernard Pocreau, co-fondateur du Service spécialisé d'accompagnement des immigrés et des réfugiés . Leurs symptômes vont des troubles du comportement ou du sommeil à l'hypervigilance, au retard de la parole ou à l'incontinence urinaire, dit-il. Par exemple, Arsen, le fils trois ans Liudmyla, n'a pas pu s'empêcher faire pipi après un long séjour dans un bunker sombre au début la guerre, même s'il n'avait pas porté couche depuis longtemps. La situation s'est améliorée depuis. Nora T. Lamontagne / LE JOURNAL DE MONTRÉAL Mais malgré hauts et bas de l'année écoulée, tous Ukrainiens rencontrés pour ce reportage exprimé leur immense gratitude envers Québécois qui ont accueillis, aidés à meubler leurs appartements et encouragés. "Je n'ai pas l'impression d'être traité comme un invité ici", déclare Kiril Koshkin, 14 ans, qui envisage désormais son avenir de ce côté-ci de l'Atlantique. Il est difficile d'estimer combien des 158 000 Ukrainiens arrivés au Canada se sont installés au Québec. Les gouvernements n'ont pas statistiques par province, mais le ministère de la Santé indique qu'un peu moins 10 000 ont postulé à la RAMQ. Son âme ne demande qu'à retourner à Kiev Un écrivain ukrainien reconnu qui a quitté Kiev à contrecœur prévoit de rentrer chez lui pour voir fleurir des jacinthes dans quelques semaines. Pourquoi est-ce que je veux revenir en arrière ? Autant se demander pourquoi les saumons remontent les rivières chaque année », sourit Natalka Poklad, poétesse en son temps. Malgré les ardements et les coupures quotidiennes d'eau et d'électricité qui affligent la capitale ukrainienne, la volonté du sympathique septuagénaire est inébranlable. On a essayé la raisonner, la convaincre, lui expliquer que ce serait compliqué, voire lui faire peur. Mais il n'y a rien à faire. Son âme veut revenir », raconte sa fille, Myroslava Polishchuk, installée au Québec depuis sept ans. Il faut dire que Natalka n'a jamais été très enthousiaste à l'idée de quitter sa chère patrie. Le 13 sans électricité Ce n'est qu'au début de novembre qu'elle est persuadée par sa sœur cadette de la rejoindre à Montréal. Peux-tu imaginer? Elle habitait au 13ème étage, et devait monter chez elle sans électricité, dans le noir total. À son âge », s'exclame Myroslava, dans son confortable salon de Côte-Saint-Luc. « J'ai toujours espér