"Manigances" pour les forcer à rester

Une nouvelle vidéo de Art du Backgammon est apparue sur Youtube le 21 décembre 2022 et elle a reçu un gros accueil de la part des internautes.

Vous le savez bien, ce n’est pas nouveau, nous suivons avec un très grand intérêt l'actualité de la chaîne Youtube Art du Backgammon depuis pas mal de temps déjà car nous savons que son contenu plait tout particulièrement à notre communauté. Et c’est pour cela qu’on vous en parle aujourd’hui, cette toute nouvelle vidéo devrait vous intéresser.

Pour ne rien vous cacher, quand on a vu que la chaîne Youtube Art du Backgammon avait publié une nouvelle vidéo qui s'appelait "Manigances" pour les forcer à rester, nous n’avons pas hésité une seconde à vous la partager pour que vous puissiez la découvrir !

Cette vidéo fait actuellement le buzz sur internet et pourrait peut être se retrouver dans les tendances de Youtube. Elle a été publiée il y a quelques heures par le vidéaste de la chaîne Youtube Art du Backgammon qui publie très régulièrement des vidéos similaires au contenu dont nous vous parlons aujourd’hui.

Avez-vous un problème avec cette vidéo ? Ou bien avez-vous vu une petite erreur dans le contenu que vous venez de regarder ? Première solution pour contacter l’auteur de cette vidéo, c’est sur Youtube que ça se passe : Essayez de trouver son adresse email dans “A propos”. Si vous n’avez pas de réponse, vous pouvez réessayer de le contacter mais sur une autre plateforme. Twitter semble être un moyen assez simple pour interpeller un Youtuber à propos d’un de ses contenus.

On espère que vous avez aimé cette vidéo et qu'on ne s'était pas trompé en vous la proposant, en effet "Manigances" pour les forcer à rester est une vidéo qui intéresse bon nombre des internautes en ce moment. Nous espérons vous retrouver au plus vite sur Allo Trends, d’ici là vous allez pouvoir regarder d’autres vidéos de Art du Backgammon en cherchant un peu sur notre plateforme dédiée. Si vous avez déjà fait le tour, allez sur Youtube, le contenu y est quasi infini !

Quoi ?! C’est déjà l’heure de nous quitter ?! Ne vous inquiétez pas, on se retrouve bientôt sur Allo Trends !

À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo "Manigances" pour les forcer à rester publiée par la chaine Youtube Art du Backgammon :

# #Manigances #forcer #rester
https://gotopnews.com/post/1176700
De gauche à droite : Audrey Mychaud, Annie Fournier, Mathieu Tremblay, Louise Fotheringham, France Gélinas et Caroline Dupuis, urgences à l'Hôpital Maisonneuve-Rosemont "Manigances" pour les forcer à rester Dans une sortie rarissime, neuf urgentistes de l'Hôpital Maisonneuve-Rosemont dénoncent l'explosion des quarts de 16 heures de travail forcé et les « magouilles » pour imposer des « heures supplémentaires obligatoires », que le gouvernement Legault cherche à éliminer. "On n'a même plus la force de brailler" PHOTO FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE Hôpital Maisonneuve-Rosemont, Montréal Alors que le gouvernement Legault dit vouloir éliminer les "heures supplémentaires obligatoires" , les quarts forcés de 16 heures explosent à l'urgence de l'hôpital Maisonneuve-Rosemont. Neuf soignants dénoncent ouvertement les "manigances" pour imposer l'OSI et les maintenir dans leur emploi. "C'est un éternel cercle vicieux", explique l'infirmier Mathieu Tremblay. La voix fatiguée, il rapporte que l'équipe du soir, dont il fait partie, a été obligée de rester pour la nuit. "On a l'impression, à l'urgence de l'Hôpital Maisonneuve-Rosemont , d'être sous respirateur artificiel." PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE Mathieu Tremblay, infirmier à l'urgence de l'Hôpital Maisonneuve-Rosemont Neuf infirmières auxiliaires de l'HMR crient du fond du cœur : fin des TSO. Les témoignages incluent des menaces de punition, d'intimidation et de "manipulation émotionnelle" pour forcer les soignants à rester sur place. Selon eux, la situation s'est détériorée au cours de la dernière année et les quarts de travail consécutifs de 16 heures sont devenus la norme. Les travailleurs de la santé qui ont accepté de parler à La Presse ont déclaré faire au moins trois TSO par semaine, parfois jusqu'à cinq. Selon les données fournies par le syndicat, au moins 220 OSI – qui ne doivent être ordonnées qu'en dernier recours – ont été prononcées le mois dernier. Taux d'heures supplémentaires obligatoires à l'urgence de Maisonneuve-Rosemont : 5,9 % des heures travaillées* Taux d'heures supplémentaires aux urgences de Maisonneuve-Rosemont et Santa Cabrini : 17 % des heures travaillées* *9 septembre au 7 décembre 2022 Source : CIUSSS de l' Est-de-l'Île-de-Montréal Le Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux de l'Est-de-l'Île-de-Montréal ne nie pas que la situation est « très, très difficile » dans des secteurs « 24/7 » comme les urgences , soir et nuit. À l'urgence de l'HMR, le taux d'heures travaillées en TSO a atteint 5,9 % du 9 septembre au 7 décembre. Cela représente 3823 heures en TSO. À titre de comparaison, le taux d'heures supplémentaires obligatoires pour les infirmières du secteur de l'urgence, pour l'ensemble de Montréal, était de 0,38 % au 19 novembre, selon le tableau de bord du gouvernement. « Rien qu'avec l'effectif actuel, on est exposés », admet Dre Martine Leblanc, directrice des services professionnels au CIUSSS de l'Est-de-l'Île. "Il est clair que nous avons besoin [de personnes qui font des heures supplémentaires], sinon nous ne pouvons pas le faire", ajoute-t-elle. Arrêt maladie "pour souffler un peu" Par SMS, Caroline Dupuis s'excuse pour le retard. L'aide-soignante vient de se réveiller en milieu d'après-midi après 16 heures. de travail. Elle a raté notre entretien initialement prévu la veille. PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE Caroline Dupuis, infirmière auxiliaire à l'urgence de l'Hôpital Maisonneuve-Rosemont "Je devais travailler ce soir, mais j'ai appelé malade. Son quart de soir a été prolongé jusqu'à la nuit de sorte qu'elle a pu sortir des urgences à 8 h. Elle devait être de retour à 16 heures. le même jour. Elle a donc puisé dans sa banque de congés de maladie "pour souffler un peu". La plupart des soignants consultés font de même. Quand j'ai regardé la fiche du [prochain] soir, il y avait déjà 12 malades car le personnel du soir devait rester la veille. Caroline Dupuis, infirmière auxiliaire à l'urgence de l'Hôpital Maisonneuve-Rosemont Entre deux quarts de travail, les travailleurs se retrouvent dans un "sit-in", à l'origine une manifestation syndicale, devenue par défaut une période tampon pendant laquelle ils doivent rester jusqu'à ce que les besoins soient satisfaits. "[Les managers] sortiront la liste pour l'OSI et si nous disons non, c'est la souricière. Cela signifie que sans qu'on vous le dise, vous vous rendez compte qu'il n'y a tout simplement personne qui vient vous chercher et que vous êtes obligé de rester, », raconte l'infirmière Isabelle Caron. La plupart du temps, l'opération vise à remplacer celles qui accumulent 16 heures. Comme nous avons des patients dépendants, on nous dit qu'on n'a pas le droit de sortir, que vous mettez personnellement la vie des gens en danger alors que ce n'est pas le cas, c'est l'institution qui met la vie