Les psychiatres désert les hôpitaux et les cas lourds

Art du Backgammon a enfin sorti une nouvelle vidéo ! On est ravi de pouvoir la partager aujourd’hui sur Allo Trends. Elle est sortie le 21 décembre 2022 et elle a déjà fait beaucoup parler d’elle sur les réseaux sociaux !

Comme vous le savez, ce n’est pas la première fois qu’on parle de la chaîne Youtube Art du Backgammon sur Allo Trends, et à chaque fois ça vous captive toujours autant ! En même temps, on vous comprend, les contenus qu’on y trouve sont tout simplement uniques. Voilà pourquoi nous vous écrivons aujourd’hui cet article, car on sait déjà que cela va susciter votre intérêt.

Nous vous proposons aujourd’hui de retrouver la dernière vidéo de la chaîne Youtube Art du Backgammon qui s’appelle tout simplement Les psychiatres désert les hôpitaux et les cas lourds. Si vous l’avez apprécié, n'hésitez pas à like le contenu pour ainsi soutenir l’auteur de la vidéo !

Depuis plusieurs heures, beaucoup d’internautes parlent de cette nouvelle vidéo sur les réseaux sociaux et elle fait aussi réagir les gens sur de nombreux forums de discussion. Ce n’est pas la première fois que la chaîne Youtube Art du Backgammon sort une vidéo qui fait parler d’elle, et nous connaissons votre grand intérêt pour ce style de contenus.

A la télévision, il est très difficile de rentrer en contact avec les animateurs ou bien même les producteurs d’une émission. Sur internet c’est beaucoup plus facile de contacter un vidéaste lorsqu’on souhaite lui faire des retours à propos d’une vidéo publiée sur Youtube ! Cependant, rien ne vous garantit qu’il vous répondra. Mais qui ne tente rien n’a rien ! Pour entrer en contact direct avec un vidéaste, essayez de trouver ses réseaux sociaux et envoyez lui un message public ou privé. Vous pouvez aussi trouver le mail d’un Youtuber sur sa chaîne Youtube en cliquant sur “A propos”. Vous obtiendrez ainsi sa précieuse adresse email.

Toute la rédaction souhaite que vous ayez aimé cet article, ainsi que la vidéo Les psychiatres désert les hôpitaux et les cas lourds que vous avez découvert aujourd’hui à nos côtés. Nous avons d’autres vidéos de Art du Backgammon sur Allo Trends, vous pouvez les découvrir dès maintenant en utilisant la barre de recherche. Vous devriez vous débrouiller, c’est assez facile d’accès même pour un débutant !

Quoi ?! C’est déjà l’heure de nous quitter ?! Ne vous inquiétez pas, on se retrouve bientôt sur Allo Trends !

À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Les psychiatres désert les hôpitaux et les cas lourds publiée par la chaine Youtube Art du Backgammon :

#maladiespsychiatriques # #Lespsychiatres #déserthôpitaux
https://gotopnews.com/post/1176722
La présidente de l'Association des médecins psychiatres du Québec, Dre Claire Gamache, comprend que la tentation est forte d'aller au cabinet, car la pratique hospitalière est lourde. Le nombre de psychiatres qui ont déserté les hôpitaux pour exercer en pratique privée a doublé en trois ans au Québec, dénonce la Dre Claire Gamache, présidente de leur association. Qui, dans la foulée, leur reproche de s'en tenir à des cas plus légers qui pourraient être vus simplement en CLSC ou par des travailleurs sociaux. « Il y a trois ans, 130 psychiatres sur 1 300 exerçaient. Nous sommes à 250 », déplore-t-elle. Toujours utile ? « Cela dépend de ce qu'ils font au bureau », note le Dr Gamache. Elle loue ceux qui font un travail conséquent, mais souligne que beaucoup d'autres évitent les patients aux pathologies plus compliquées pour se limiter à de simples cas de dépression mineure ou de trouble mental. 'anxiété. Une pratique « peinarde », en d'autres termes ? PHOTO OLIVIER JEAN, ARCHIVES LA PRESSE Dre Claire Gamache, présidente de l'Association des médecins psychiatres du Québec Les psychiatres qui choisissent cette voie n'ont aucun mal à remplir leur emploi du temps, en vertu du « message très véhiculé que tout le monde devrait aller voir un psychologue ou un psychiatre », poursuit le Dr Gamache. « Ce message devrait être restructuré. Il y a plein d'autres choses à faire dans votre vie avant d'aller voir un psychiatre, comme bien manger, dormir la nuit, faire du sport, participer à des groupes de discussion sur la gestion des émotions autant que possible. . » En plus des départs à la retraite, il y a donc « des jeunes et des vieux » qui partent en cabinet. La Dre Gamache lève particulièrement les sourcils lorsqu'elle voit des jeunes qui font cela sans même avoir pratiqué dans un hôpital ou des cliniques après l'obtention de leur diplôme, évitant ainsi, entre autres, les pénibles gardes à l'urgence. Ce discours détonne de la part du président de l'Association des médecins psychiatres du Québec, lui fait-on remarquer. Elle répond qu'elle représente tous les membres et que « c'est un cercle vicieux. Plus les médecins partent, plus la tâche de ceux qui restent est lourde. Si la profession ne s'autorégule pas, les psychiatres risquent de se voir imposer « des règles plus coercitives » par le gouvernement. Le Dr Gamache comprend parfaitement qu'il y a une forte tentation d'aller au bureau. Car oui, la pratique hospitalière est lourde. Les patients y sont très touchés et leurs psychiatres doivent passer beaucoup de temps dans les palais de justice, entre autres pour que les patients soient obligés d'accepter les soins qu'ils refusent, si leur état l'exige absolument. La lourdeur vient aussi de "la stigmatisation tant de la société que des hôpitaux eux-mêmes" qui souvent "ne veulent pas de la psychiatrie dans leurs urgences", comme c'est le cas pour le nouveau complexe hospitalier en construction à Québec, précise le Dr Gamache. Les patients et leurs psychiatres se retrouvent donc souvent "au fond du couloir", dit-elle encore. Rendre la pratique de bureau moins lucrative La solution pourrait-elle être de limiter le recours aux psychiatres à certaines pathologies uniquement, en les empêchant de facturer aux patients des psychothérapies simples ? Le Dr Karine Igartua, également psychiatre et prédécesseur du Dr Gamache à la présidence de l'Association des psychiatres, répond qu'il faut en fait chercher à « rendre la pratique en cabinet moins attractive », moins lucrative. PHOTO ANDRÉ PICHETTE, ARCHIVES LA PRESSE Dre Karine Igartua Elle fait le même constat que le Dr Gamache. Oui, certains psychiatres tricotent "une clientèle triée au peigne fin, plus agréable". Certains le font "pour sauver leur peau", d'autres, à cause d'un ras-le-bol qu'elle comprend très bien. Parce qu'il y a de la fatigue et en médecine comme ailleurs dans la société, « les gens revoient leurs objectifs de vie, se demandent pourquoi ils travailleraient comme des fous », dans des locaux délabrés, « voyant leur famille trop peu et se cogner [dans les hôpitaux] quatre plateformes tech dépassées qui plantent tout le temps." Dans une pratique, souligne le Dr Igartua, un médecin peut arrêter de prendre des patients. Pas aux urgences. « S'il y a 8 patients aux urgences le matin et que 6 autres arrivent, j'aurai 14 patients à voir. Je ne peux pas fermer les portes des urgences. On sent toujours la pression de la liste d'attente. » Autre solution : la thérapie de groupe. Lorsqu'elle était présidente, la Dre Igartua se souvient avoir été surprise que si peu de psychiatres en fassent alors qu'elles sont souvent très appropriées et efficaces, note-t-elle. Jusqu'à ce qu'elle s'aperçoive que pour animer une telle séance, bien plus compliquée à tenir qu'une consultation privée, les