La "danseuse de l'espace" multiplie les chorégraphies en vols zéro-G

On a regardé avec attention la nouvelle vidéo de Le Parisien qui est disponible sur Youtube depuis le 19 juin 2021 et on pense qu’elle pourrait capter l'intérêt de pas mal d'internautes…

Vous avez encore été très nombreux sur les réseaux sociaux ces dernières semaines à nous demander de vous partager des nouveaux contenus issus de la chaîne Youtube Le Parisien, continuez à nous envoyer des messages ça nous fait très plaisir de savoir que nos contenus vous plaisent. C'est pourquoi nous avons décidé de faire un billet sur le sujet, car nous sommes sûrs que vous apprécierez cette nouvelle vidéo.

Comme bien souvent lorsque la chaîne Youtube Le Parisien poste un nouveau contenu sur internet, vous pouvez le trouver sur notre site. Pour regarder la toute dernière vidéo qui s’appelle “La "danseuse de l'espace" multiplie les chorégraphies en vols Zéro-G”, c’est juste en haut !

Très bons retours pour le moment pour la dernière vidéo de la chaîne Youtube Le Parisien, même si c’est souvent le cas sur les commentaires qu’on retrouve sur cette chaîne que les internautes adorent depuis bien longtemps déjà. Si les retours continuent à être aussi positifs, l'algorithme de Google pourrait décider de la proposer à de nombreux internautes.

Il peut exister une hypothèse où vous avez besoin de contacter le vidéaste auteur de cette vidéo pour lui faire part de vos critiques, remarques ou bien conseils. Cependant, rien ne vous garantit qu’il vous répondra. Mais qui ne tente rien n’a rien ! Pour entrer en contact direct avec un vidéaste, essayez de trouver ses réseaux sociaux et envoyez lui un message public ou privé. Vous pouvez aussi trouver le mail d’un Youtuber sur sa chaîne Youtube en cliquant sur “A propos”. Vous obtiendrez ainsi sa précieuse adresse email.

Vous avez maintenant toutes les informations sur la vidéo La "danseuse de l'espace" multiplie les chorégraphies en vols Zéro-G, on espère que ça vous convient et que vous y avez trouvé votre intérêt. Nous croisons les doigts pour que vous reveniez très vite sur Allo Trends pour suivre les prochaines vidéos de Le Parisien, pensez à aller faire un tour aussi sur Youtube pour trouver d’autres contenus exclusifs.

Nous on se retrouve très prochainement pour un nouvel article sur Allo Trends, à bientôt !

À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo La "danseuse de l'espace" multiplie les chorégraphies en vols Zéro-G publiée par la chaine Youtube Le Parisien :

Elle n’a jamais mis un pied dans l’espace et pourtant Jeanne Morel quitte régulièrement la terre ferme pour s’envoler un peu plus haut dans le ciel… et danser en apesanteur. Depuis 2016, cette danseuse de l’extrême, fraîchement nommée membre de l’Unesco au Conseil international de la danse et qui aime performer au milieu des volcans, sous la mer ou en haute-montagne, collabore avec le Centre national d'études spatiales (CNES) et l’Agence spatiale européenne (ESA) sur ces vols Zéro-G, qui proposent de recréer les conditions de micro-gravité à bord d’un Airbus A300.

Avec son associé et architecte Paul Marlier, chargé de capter les mouvements de son corps et de son cerveau lorsqu’elle improvise une chorégraphie en apesanteur, Jeanne livre les résultats de ses données aux ingénieurs, aux médecins et astronautes des deux agences - et même à des psychologues de la Nasa - qui cherchent à en savoir un peu plus sur la capacité du corps humain à commander ses gestes - précis dans le cas d’une danseuse entraînée - dans un milieu qui n’est plus soumis à la gravité terrestre. « C’est un merveilleux trait d’union entre l’art et la science.


D’un côté, nous créons avec mon associé des œuvres d’art numériques poétiques basées sur les mouvements de mon corps en micro-gravité, de l’autre, les chercheurs étudient la psychomotricité en apesanteur », explique-t-elle. Les premiers résultats de l’étude, toujours en cours, ont déjà démontré la création de nouvelles connexions dans le cerveau de Jeanne. « On étudie plus précisément les zones qui se sont activées via mes émotions, au cours d’une chorégraphie », précise-t-elle. A terme, les données exploitées pourraient permettre, selon Jeanne, d’imaginer des applications qui serviraient, par exemple, à des personnes tétraplégiques. « Elles pourraient choisir des couleurs, des mouvements et d’une certaine manière danser même dans un corps confiné en activant certaines zones du cerveau ». Lorsqu’on lui demande si elle rêve un jour de partir danser dans l’espace, le vrai, Jeanne n’écarte pas l’idée. « Je ne
sais pas. Pourquoi pas. Il faudrait que cela ait un sens. Moi, je me vois plus dans une quête spatiale. Pas dans la conquête spatiale. Je reste une danseuse des espaces », sourit-elle.