Jambon au sel nitrité : "Moins cher, donc les plus pauvres sont plus exposés aux risques de cancer"

Comme beaucoup d’internautes, vous attendiez depuis plusieurs heures la dernière vidéo de Le Parisien, sachez que votre attente va enfin pouvoir prendre fin, la vidéo est maintenant disponible depuis le 12 février 2023 !

Vous le savez bien, ce n’est pas nouveau, nous suivons avec un très grand intérêt l'actualité de la chaîne Youtube Le Parisien depuis pas mal de temps déjà car nous savons que son contenu plait tout particulièrement à notre communauté. Voilà pourquoi nous vous écrivons aujourd’hui cet article, car on sait déjà que cela va susciter votre intérêt.

Voici donc aujourd’hui la dernière vidéo de la chaîne youtube Le Parisien. Elle s’appelle Jambon au sel nitrité : "Moins cher, donc les plus pauvres sont plus exposés aux risques de cancer" et comme vous vous en doutez, elle intéresse déjà beaucoup les internautes. Vous pouvez la retrouver juste ici.

La vidéo fait un très bon démarrage depuis qu’elle a été téléversé sur la chaîne Youtube de Le Parisien et elle pourrait bien finir en tendance si les scores restent à ces niveaux. Il ne faudra cependant pas trop s’enflammer et attendre quelques jours pour voir si ce bon démarrage se confirme avec un buzz sur la durée.

A la télévision, il est très difficile de rentrer en contact avec les animateurs ou bien même les producteurs d’une émission. Sur internet c’est beaucoup plus facile de contacter un vidéaste lorsqu’on souhaite lui faire des retours à propos d’une vidéo publiée sur Youtube ! Par contre, même si vous trouvez l’adresse email d’un Youtuber en vous rendant dans la section “A propos” de sa chaîne Youtube, rien ne vous garantit qu’il va vous répondre… Essayez dans ce cas de le contacter sur les réseaux sociaux, la plupart utilisent Twitter, d’autres Instagram, les plus vieux sont quant à eux toujours sur Facebook !

Nous espérons que vous avez apprécié cet article, et que la vidéo Jambon au sel nitrité : "Moins cher, donc les plus pauvres sont plus exposés aux risques de cancer" a répondu à toutes vos attentes. Retrouvez dès maintenant d’autres vidéos similaires sur notre plateforme, on vous fait confiance pour dénicher d’autres pépites. Si et seulement si vous avez déjà fait le tour de notre site, alors foncez sur Youtube voir d’autres contenus exclusifs de Le Parisien.

On se retrouve bientôt pour un nouveau contenu sur Allo Trends, et en attendant on se dit Ciao à la prochaine !

À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Jambon au sel nitrité : "Moins cher, donc les plus pauvres sont plus exposés aux risques de cancer" publiée par la chaine Youtube Le Parisien :

C’est un peu l’acte 2 d’une lutte qu’il mène depuis des années. Ce jeudi, Guillaume Coudray sort un nouveau livre, « Nitrites dans la charcuterie : le scandale », qui (comme son nom l’indique) dénonce l’utilisation de nitrates et/ou de nitrites dans la charcuterie. Des additifs dont le lien avec « le risque de cancer colorectal » a été confirmé par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses). Les choses ont pourtant un peu changé depuis son premier livre (« Cochonneries, comment la charcuterie est devenue un poison »).

En février 2022, l’Assemblée nationale avait voté le principe d’une « trajectoire de baisse » des doses maximales d’additifs nitrés dans la charcuterie. De fait, de plus en plus de produits « sans nitrite » s’affichent désormais dans les rayons des supermarchés. « On se moque du monde » Insuffisant, selon Guillaume Coudray.

D’autant que, en juillet dernier, l’Anses a confirmé dans un rapport « l’existence d’une association entre le risque de cancer colorectal et l’exposition aux nitrites et/ou aux nitrates ». « Au niveau réglementaire, au niveau législatif, rien ne change », explique-t-il. « Le gouvernement avait promis un plan d’action, suite au rapport de l’Anses, à l’automne. (…) On se moque du monde. Ce qui compte, ce sont les consommateurs. Les industriels nous prouvent chaque jour qu’ils savent faire des charcuteries sans nitrate, sans nitrite. Ça doit devenir la norme ».

L’utilisation de ces additifs nitrés allonge la durée de conservation de la viande, lui donne sa couleur rose, et permettent de prévenir le développement de bactéries pathogènes, à l’origine notamment du botulisme. Interrogé suite au rapport de l’Anses, Fabien Castanier, délégué général de la Fict (Fédération française des industriels charcutiers-traiteurs) affirmait que « la charcuterie (pouvait) être consommée en sécurité (…). L’enjeu, c’est une consommation raisonnable comme pour tout aliment » Selon lui, se passer du traitement aux nitrites est complexe et onéreux. « Cela nécessite des mesures drastiques d’hygiène »