Uranium appauvri, un tueur très présentable

Bonjour et bienvenue sur cet article ! Aujourd’hui grande nouvelle la chaîne imineo Documentaires a sorti une nouvelle vidéo et toute la rédaction a été scotchée par ce dernier contenu sorti le 21 octobre 2018 sur Youtube…

Comme il y a quelque temps, vous aviez été très nombreux à vous rendre sur un de nos articles qui parlait d’une des dernières vidéos de la chaîne imineo Documentaires, on en remet une couche aujourd’hui car nous savons combien ça vous fait tout particulièrement plaisir. On est sûr que cette vidéo va vous intéresser, c’est bien pour cela que nous avons pris la décision de faire cet article.

Vous commencez à en avoir l’habitude, à chaque nouvelle sortie de vidéo sur la chaîne Youtube de imineo Documentaires, on essaye de vous la proposer dans les plus brefs délais sur notre site. Nous vous invitons à découvrir sans plus tarder la vidéo Uranium appauvri, un tueur très présentable en vous rendant sur le player juste ici !

Et comme on pouvait s’y attendre, la dernière vidéo de la chaîne Youtube imineo Documentaires fait un tabac sur les premiers retours qu’on a pu lire ! Elle réussit à intéresser de nombreux internautes, ce qui n’est pas toujours facile au vu de la quantité de contenus qu’on trouve maintenant sur internet ainsi que sur les applications telles que TikTok, Facebook ou Instagram.

Grâce à Internet, on peut aisément parler aux vidéastes pour leur poser toutes les questions qu’on a en tête, ou bien même leur faire part de critiques (constructives s’il vous plaît!). Par contre, même si vous trouvez l’adresse email d’un Youtuber en vous rendant dans la section “A propos” de sa chaîne Youtube, rien ne vous garantit qu’il va vous répondre… Essayez dans ce cas de le contacter sur les réseaux sociaux, la plupart utilisent Twitter, d’autres Instagram, les plus vieux sont quant à eux toujours sur Facebook !

Et voilà, on arrive bientôt à la fin de cet article, vous venez de découvrir tout ce qu’on savait à propos de la vidéo Uranium appauvri, un tueur très présentable. Le saviez-vous ? Sur Youtube, vous pouvez trouver d’autres vidéos de imineo Documentaires qui ont pu être uploadé par d’autres utilisateurs et qui ne sont pas encore référencés sur Allo Trends. Si jamais vous êtes curieux, allez y faire un tour, on ne sait jamais !

Hâte de découvrir des nouveaux contenus en votre compagnie, à la prochaine sur Allo Trends !

À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Uranium appauvri, un tueur très présentable publiée par la chaine Youtube imineo Documentaires :

«  L’uranium appauvri est un métal très dur, très dense, explique Jim McDermott, membre du Congrès américain. Vous le mettez sur la pointe d’une balle ou dans la tête d’un obus, il pourra traverser un premier tank, puis un deuxième tank. D’un point de vue militaire, c’est formidable. » D’un point de vue santé publique, c’est autre chose. Jacques Charmelot a voulu mesurer les réelles conséquences de l’UA sur l’homme. Cet ancien journaliste de l’AFP a couvert en trente ans des conflits en Afrique, dans les Balkans, en Iran, au Liban et en Irak, où il retourne pour commencer son enquête.
En février 1991, larguées par l’aviation américaine, les premières bombes à base d’uranium appauvri anéantissent des centaines de chars irakiens qui fuient le Koweït, sur la route de Bassora. Plus de vingt ans après, les médecins de l’hôpital central de la ville constatent la multiplication par quatre du nombre de cancers. A l’époque, on avait prévenu les soldats américains des dangers de ces munitions : s’en écarter au plus vite et le plus loin possible, et éviter toute exposition de la peau. Mais les habitants de Bassora n’ont eu ni cette chance ni le choix : les épaves des chars n’ont pas bougé et continuent de distiller leur poison. Car, après inflammation, les nanoparticules toxiques dégagées par l’UA – des résidus d’uranium enrichi peu radioactif et non dégradable – peuvent s’inhaler ou s’ingérer très facilement et contaminer l’organisme.
Pendant les guerres de Yougoslavie, près de Sarajevo, l’ancienne usine d’armement serbe d’Hadzici est la cible à répétition des avions de l’Otan et reçoit 4 000 obus à l’UA. Sur place, Jacques Charmelot recueille le témoignage des survivants : la plupart des ouvriers sont morts à la suite de cancers. Aujourd’hui, la maladie touche en nombre les habitants actuels, empoisonnés par l’environnement. Ils ne sont pas les seuls.