Gims, qui aurait menacé Maeva Ghennam, fait actuellement parler de lui. Tout d'abord pour sa musique, puisque le rappeur aux lunettes noires a sorti le 3 décembre 2021 la réédition de son album Le fléau, intitulée L'empire de Méroé. L'artiste, qui avait déjà dévoilé la réédition Les vestiges du fléau en mai dernier, proposait quatre chansons inédites qui ont fait le bonheur de son public. Mais depuis, le frère de Dadju a créé la polémique à l'occasion du nouvel an 2022. Dans des stories sur son compte Snapchat, l'interprète du tube "Jusqu'ici tout va bien" a en effet demandé aux musulmans de ne plus lui souhaiter la nouvelle année.
Le chanteur a dit : "S'il vous plaît, avec le nouvel an, le nouvel an, laissez-moi tranquille avec ça, vous savez que je n'ai jamais répondu à ça, mais vous continuez à m'envoyer des vœux de nouvel an tout le mois de janvier, février (...) Ce sont les musulmans qui m'envoient le plus ça. Est-ce que les compagnons (du Prophète) ont fêté le Nouvel An ? Non. Les gars, s'il vous plaît, arrêtez". Il a ensuite ajouté que cela s'appliquait également aux anniversaires : "J'en souffre. On ne le fête pas parce que c'est comme ça. En plus, c'est un pas de plus vers la mort. Donc cela ne fait pas partie de nos convictions, vous les musulmans. Allez, on se concentre un peu sur nos propres affaires. Ce n'est pas méchant. Mais restons quand même forts avec nos valeurs".
"Tous ceux qui fêtent Thanksgiving etc. ne fêtent pas l'Aïd. Nous respectons Noël etc. mais ce ne sont pas nos fêtes", a-t-il finalement conclu. Ses propos ont été repris et largement diffusés sur les réseaux sociaux, ce qui a provoqué un débat. Jusqu'à présent, Gims ne s'est pas exprimé à ce sujet. Sur son compte Instagram, il a plutôt posté une photo de lui sans lunettes, ce qui a de nouveau provoqué des remous sur la toile.