Le Foulque macroule - Documentaire Animalier

Depuis le 16 novembre 2015, beaucoup d’internautes ne parlent que de ça, la dernière vidéo de Documentaire Animalier fait beaucoup parler d’elle depuis sa sortie et pourrait aussi vous intéresser !

Pour tout vous dire à la rédaction Allo Trends, on sait tout l'intérêt que porte notre communauté sur la chaîne Youtube de Documentaire Animalier. A chaque nouveau contenu, l'intérêt est toujours plus grand que ce soit sur notre site ou bien même sur les réseaux sociaux. On est sûr que cette vidéo va vous intéresser, c’est bien pour cela que nous avons pris la décision de faire cet article.

Nous vous proposons aujourd’hui de retrouver la dernière vidéo de la chaîne Youtube Documentaire Animalier qui s’appelle tout simplement Le Foulque macroule - Documentaire Animalier. Si vous l’avez apprécié, n'hésitez pas à like le contenu pour ainsi soutenir l’auteur de la vidéo !

De nombreuses personnes parlent de cette nouvelle vidéo depuis plusieurs heures sur les réseaux sociaux et elle a également fait naître de nombreux commentaires sur les forums qu’on trouve sur la toile. D’ailleurs la chaîne Youtube Documentaire Animalier n’en est pas à son coup d’essai en publiant une vidéo qui fait sensation. Nous savons bien que vous êtes souvent très intéressés par ce type de contenu.

N’oubliez pas que vous pouvez contacter l’auteur de cette vidéo pour lui faire part de vos remarques et conseils ou bien même pour le questionner sur le sujet de son contenu. Pour parler à un youtuber (c’est comme ça qu’on appelle les créateurs de contenus sur la plateforme Youtube), rendez-vous directement sur sa chaîne, dans la partie “A propos” plus précisément. Si il ne vous répond pas, réessayez sur ses réseaux sociaux : Facebook, Instagram ou Twitter par exemple !

On espère que vous avez aimé cette vidéo et qu'on ne s'était pas trompé en vous la proposant, en effet Le Foulque macroule - Documentaire Animalier est une vidéo qui intéresse bon nombre des internautes en ce moment. Vous avez déjà regardé la vidéo en entier ? Pensez à checker notre site pour trouver d’autres contenus liés à Documentaire Animalier, on en a pas mal de disponible et de nouvelles vidéos arrivent très prochainement, faites nous confiance !

Toutes les bonnes choses ont une fin et cet article ne déroge pas à la règle ! A plus tard pour un prochain contenu à découvrir sur Allo Trends !

À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Le Foulque macroule - Documentaire Animalier publiée par la chaine Youtube Documentaire Animalier :

Dès le début du printemps les couples de foulques macroules sont formés. Au bord de l'étang, les premières pousses vertes des herbes aquatiques sont à peine sorties, que chacun d'entre eux a élu domicile sur une portion de berge et d'eau qui devient alors propriété privée.

Et, bien que les foulques n'utilisent pas encore de pancartes, elles savent très bien faire comprendre à leurs voisins qu'il vaut mieux ne pas franchir les limites du territoire.

Premier avertissement, on tape du pied pour montrer sa mauvaise humeur.

Parfois ça marche, et l'intrus s'en va sans insister. Mais parfois il reste sur place et les discussions sont un peu plus longues et deviennent même orageuses.

Et pour ceux qui ne veulent vraiment rien savoir, une seule solution : il faut en venir aux mains et montrer qui est le plus fort.

Dans le monde animal, le plus fort ayant toujours raison, le calme revient rapidement et le cours des choses reprend.

Le mâle entame avec vigueur les travaux de construction du nid. C'est lui qui se charge du gros œuvre. Il entasse ainsi une quantité de tiges de roseaux, de branchettes, d'herbes aquatiques qui forment une large plate-forme au dessus de l'eau.

Les femelles quant à elles, vaquent à leurs petites occupations un peu plus loin. La recherche de la nourriture occupe les foulques une bonne partie du temps. Il faut dire qu'elles ont un solide appétit et qu'elles ne sont pas difficiles quant au menu : toutes les plantes aquatiques y passent et elles ne dédaignent pas non plus les mollusques ou les petits vers à l'occasion.

Peu à peu, la construction du nid se termine. Le mâle achève la rampe d'accès qui mène à une petite coupe aménagée par la femelle avec des matériaux plus fins et dans laquelle elle a pondu les premiers œufs.

Femelle et mâle se relaient pour couver leur future petite famille, avec plus ou moins d'attention d'ailleurs, ce qui n'est pas sans risque.

Quant le temps est beau par exemple, il arrive que les œufs soient laissés quelques instants sans protection. Les corneilles ou les pies, expertes en pillages et rapines de toutes sortes, savent alors profiter de l'occasion pour les gober en vitesse.

Les inondations printanières ont le même effet destructeur, mais les foulques ont un moral d'acier et une vitalité sans égale. Elles remettent en chantier un autre nid, pondent à nouveau et reprennent patiemment la couvaison.

Trois semaines plus tard, il semble que cette fois tout se soit bien passé, car la femelle est toujours sur ses œufs, fidèle au poste.

D'ailleurs depuis le temps qu'elle tue les heures en s'occupant comme elle peut, il devrait bientôt arriver quelque chose sous la chaleur de ses plumes.

Indice supplémentaire, le mâle habituellement si peu soucieux de ce qui se passe au nid, apporte régulièrement à sa femelle de petits morceaux d'herbe.

Cette minuscule bouchée est en fait destinée au premier jeune qui vient de sortir de son œuf. Il reste caché sous sa mère quelques heures, puis, oh surprise, ose se montrer au grand jour.

Drôle de diablotin en vérité, et dégourdi avec ça. A peine sec, le jour de sa naissance, il décide d'aller faire un tour sur l'eau, comme un grand, en compagnie de ses parents.

Mais l'escapade est de courte durée, car le fin duvet n'est pas encore tout à fait imperméable.

Bien vite, tout le monde remonte sur le nid. Exercice périlleux qui transforme la moindre brindille en une montagne à franchir, avant d'atteindre la sécurité des plumes maternelles.

Dans les jours suivants, le reste de la nichée éclôt à son tour, et une semaine plus tard, ils accompagnent les parents partout, les poussins savent nager, plonger, et se cacher dans les roseaux à la moindre alerte.

En grandissant, ils perdent leur colerette de duvet rouge et, sans cesser de mendier à manger aux parents, acquièrent peu à peu leur indépendance.