Le samedi 8 janvier, les internautes ont eu la bonne surprise de découvrir que Booba n'était plus présent sur la toile. Instagram avait d'abord supprimé le compte de l'artiste, avant que Twitter ne prenne la même décision. Le rappeur n'est pas toujours le bienvenu en ligne, et pour cause... Ses 5,6 millions d'abonnés ont pu lire le message suivant à leur réveil : "Le compte de @booba est temporairement suspendu car il ne respecte pas la politique médiatique de Twitter". Pour les curieux qui cliquent sur "en savoir plus", la plateforme indique : "qu'il est interdit de publier des médias excessivement sanglants et de partager des contenus violents ou pour adultes de médias qui montrent de la violence et/ou des agressions sexuelles et des images haineuses".
Booba serait-il en mesure de publier des contenus haineux ? Instagram aurait-il fermé le compte du célèbre rappeur sans raison ? Bien sûr que non. Le nom de Booba apparaît souvent à côté des mots "dérapage" et "violence". Règlements de comptes, échanges de noms d'oiseaux avec ses rivaux. Le chanteur a beaucoup de mal à se comporter en public et derrière son écran. Même chez Maître Gims, le parfum de la haine se fait de plus en plus sentir. Le maestro n'avait d'ailleurs pas tout à fait gardé son calme en répliquant : "Rappelle-toi que tu ne seras jamais critiqué par quelqu'un qui en fait plus que toi ; tu ne seras critiqué que par quelqu'un qui en fait moins que toi".
Nous aurions été surpris si Booba n'avait pas partagé son opinion sur la crise sanitaire et surtout sur le carnet de santé. Selon le rappeur, "on ne peut obliger le peuple à se faire vacciner que si le vaccin est testé et efficace à 100 %. Sinon, nous sommes des hamsters. Ils m'ont bloqué parce qu'ils ne trouvaient pas ma photo de profil appropriée. Je ne fais que donner mon avis sur un sujet délicat en transmettant la vérité. J'invite les gens, les chanteurs, les sportifs, les acteurs, etc. à faire de même". Entre-temps, le compte du rappeur mécontent a été réactivé. Pour combien de temps ? Vous en saurez plus lors du prochain dérapage !