« L'échéance de janvier sur les biodéchets : on n'y sera pas, mais il faut se lancer »

On a regardé avec attention la nouvelle vidéo de Actu-Environnement qui est disponible sur Youtube depuis le 4 octobre 2023 et on pense qu’elle pourrait capter l'intérêt de pas mal d'internautes…

Depuis le temps que vous nous suivez sur Allo Trends, vous commencez à avoir l’habitude qu’on vous parle de la chaîne Youtube Actu-Environnement, et de ses vidéos si virales qui font systématiquement parler d’elle sur le web, et même au-delà ! Et c’est pour cela qu’on vous en parle aujourd’hui, cette toute nouvelle vidéo devrait vous intéresser.

La chaîne Youtube Actu-Environnement a publié aujourd’hui une nouvelle vidéo qui s’appelle « L'échéance de janvier sur les biodéchets : on n'y sera pas, mais il faut se lancer ». Vous voulez découvrir cette vidéo et la regarder en streaming, vous êtes chanceux on vous l’a mis de côté !

Et comme on pouvait s’y attendre, la dernière vidéo de la chaîne Youtube Actu-Environnement fait un tabac sur les premiers retours qu’on a pu lire ! Elle réussit à intéresser de nombreux internautes, ce qui n’est pas toujours facile au vu de la quantité de contenus qu’on trouve maintenant sur internet ainsi que sur les applications telles que TikTok, Facebook ou Instagram.

Ce qui est pratique avec internet, c’est que lorsqu’on a un souci avec un contenu, on peut très facilement rentrer en contact avec son auteur pour lui en faire part. Si vous souhaitez faire des retours au créateur de la vidéo, n'hésitez pas à contacter l’auteur en vous rendant dans la section “A propos” de sa chaîne youtube. Ou bien en tentant de le joindre sur ses réseaux sociaux tout simplement, c’est quand même bien pratique des fois twitter !

Nous espérons que vous avez apprécié cet article, et que la vidéo « L'échéance de janvier sur les biodéchets : on n'y sera pas, mais il faut se lancer » a répondu à toutes vos attentes. Nous avons d’autres vidéos de Actu-Environnement sur Allo Trends, vous pouvez les découvrir dès maintenant en utilisant la barre de recherche. Vous devriez vous débrouiller, c’est assez facile d’accès même pour un débutant !

Et voilà c’est déjà fini, on se revoit très bientôt sur Allo Trends pour un nouvel article. Bisous bisous !

À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo « L'échéance de janvier sur les biodéchets : on n'y sera pas, mais il faut se lancer » publiée par la chaine Youtube Actu-Environnement :

Le 1er janvier 2024, les collectivités doivent proposer une solution de tri à la source des biodéchets à leurs habitants. Une échéance qui ne sera pas respectée, mais pour Muriel Bruschet, ingénieure référente à l'Ademe, l'important : c'est de se lancer.

Pour en découvrir davantage :

Elle fait partie des nombreuses mesures renforcées par la loi Antigaspillage pour une économie circulaire de février 2020 : la généralisation du tri des biodéchets à la source. Prévue initialement en 2025, et avancée au 1er janvier 2024, cette mesure doit sortir de l'incinération et de l'enfouissement les 83 kg de déchets putrescibles produits par habitant et par an que l'on retrouve encore dans les ordures ménagères résiduelles.

Ce gisement valorisable en méthanisation ou en compostage devra donc bientôt être collecté de manière séparée chez ou par les habitants. Un défi déjà relevé par quelques communes, mais qui prend du temps pour se mettre en place. « Il faut entre trois et quatre ans pour choisir les bonnes solutions et bien mailler son territoire », estime Muriel Bruschet, ingénieure référente à l'Ademe rencontrée à l'occasion du Carrefour des déchets, à Montpellier en septembre dernier. Surtout que ce nouveau geste de tri va souvent de pair avec une réflexion globale sur la collecte des déchets existante, au risque de coûter trop cher. Une étude, commandée par les gestionnaires de déchets, a en effet estimé le surcoût lié à la mise en œuvre de la collecte séparée des biodéchets ménagers entre 7 et 22 euros par habitant et par an. La remise à plat de la collecte des déchets existante est un point clé de réduction de ce surcoût.

Mais pour Muriel Bruschet, ce n'est pas insurmontable, il faut de l'accompagnement, de l'information et une bonne dose de volonté politique.